Contenu

Recherche par lecteur : Claire Philippe

37 résultats. Page 2 sur 2.

Durée:10h. 14min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:12907
Résumé: Le capitaine Pantaléon Pantoja a le génie de l'organisation, l'amour de l'obéissance et une seule mystique : l'efficacité de l'institution militaire. Il met toutes ses vertus au service d'une mission dont le chargent ses supérieurs, et qui consiste à "pacifier" sexuellement les troupes isolées de l'Amazonie péruvienne. Son travail acharné et ses talents lui permettent de monter rapidement le S.V.G.P.F.A. (Service de Visiteuses pour Garnisons, Postes Frontières et Assimilés), qui a son hymne, ses couleurs, et devient une florissante affaire. Quant à Pantaleón qui n'a jamais regardé d'autres femmes que sa mère, Mme Leonor, et son épouse, Pochita, il est promu au rang de plus puissant proxénète du Pérou. En marge de son drame, dans la même double tonalité burlesque et grave, Vargas Llosa tisse le destin tragique du frère Francisco, autre fanatique, qui pousse ses fidèles à crucifier des animaux, puis des hommes, pour conjurer le "Mal".
Durée:6h. 45min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:14890
Résumé: Quatrième de couverture : Edith Hope qui, sous un pseudonyme plus aguicheur, écrit des romans sentimentaux, s'est retirée à l'Hôtel du Lac, établissement cossu, situé en bordure du Léman. "Ceux qui croyaient me connaître ne tenaient pas à me voir changer", dit-elle pour évoquer le carcan dans lequel elle vivait jusque-là enfermée et les raisons qui, vraisemblablement, l'ont incitée à choquer pour toujours la bonne société anglaise. Plutôt que de se confesser, la romancière écrit, écoute et observe : les attentions déployées par Mr Neville, séducteur du lieu; la morgue de Monica, jeune femme anorexique et bien vivante, que son mari répudiera bientôt; les mimiques de Mrs Pusey et de sa fille, ou les malheurs de Madame de Bonneuil...
Durée:3h. 12min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:12946
Résumé: « Betty sursauta. Cette fois, elle était sûre d'avoir entendu crisser le gravier. Quelqu'un se déplaçait le long du mur de la villa, se rapprochait de sa chambre. Du salon, la radio toujours allumée diffusait les accords de harpe qui annonçaient le début de l'émission Le Masque et la Plume. Betty, alors, se leva et se dirigea vers la fenêtre avec le sentiment précis qu'une chose horrible l'y attendait. Elle ne se trompait pas. Posée sur le rebord, la tête décapitée d'un écureuil la regardait. » La vie de Betty, douze ans, se transforme le jour où elle rencontre Yvon, un malade échappé de l'hôpital psychiatrique. Elle décide de le protéger et le cache dans sa cabane. Elle ose, mue par un appel mystérieux vers « une autre vie », défier l'autorité paternelle, braver la police et transgresser les règles. Avec ce livre pudique et sensuel, Anne Wiazemsky nous offre un roman d'apprentissage qui aborde avec tendresse l'éclosion de la féminité.
Durée:7h. 16min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:14536
Résumé: Présentation de l'éditeur : " 27 août 2005. Dernier galop dans la plaine arasée de l'été déjà finissant. Dernière cueillette de mûres, et l'Eaubac gourmand qui s'arrête le long des haies épineuses et incline sa tête curieuse vers ma main gorgée de juteuses douceurs. Dernière plongée dans les sous-bois où je serre si fort et embrasse son encolure de velours pour éviter les branches basses et le laisser m'emmener, comme un fils donne la main à son père. Dernier trotting sur les petites routes, et je ferme les yeux, et je ne vois qu'avec mon corps en lévitation, et j'oublie tout, bercé par le rythme cadencé des fers sur le macadam tiède. Derniers frissons. Dernière promenade amoureuse, animale, végétale, sous un ciel d'accompagnement, dans une lumière d'autrefois qui lentement décline. " Jérôme Garcin
Durée:1h. 59min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:13111
Résumé: Récit en trois parties d'un voyage, entrepris au cours de l'été 1959, le long des côtes italiennes. Dans ce journal, Pasolini développe une réflexion sur la vie et la mort, que lui inspirent les grands ciels d'été et les plages étincelantes de soleil.
Durée:3h. 31min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:14205
Résumé: Ella Maillart (1903-1997) a été l'une des voyageuses les plus audacieuses de la première moitié du XXe siècle. Pour célébrer le centenaire de sa naissance, nous publions une partie importante de la correspondance tenue avec sa mère à l'époque de ses pérégrinations. " On la voit tout à tour marin sur un voilier en Méditerranée, apprentie archéologue sur l'île de Crète, figurante sur des plateaux de cinéma berlinois, exploratrice dans les Républiques soviétiques reculées, correspondante de presse en Mandchourie, infirmière malgré elle dans le Turkestan chinois, conférencière à la prestigieuse Royal Geographical Society à Londres, et enfin méditative dans le Sud indien. "
Durée:5h. 42min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:14141
Résumé: Pourquoi racontons-nous des histoires ? Pour tromper la mort ? Par peur du noir ? Ou parceque la réalité ne suffit jamais à notre plaisir ? Faire diversion et se divertir : c'est l'enjeu des Mille et Une Nuits que l'on retrouve dans ces récits...
Durée:5h. 56min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:13890
Résumé: Lena, une femme de près de quatre-vingts ans, attend sa nièce Phia. Elle fait une tarte aux quetsches, met la table, se prépare, dans son for intérieur, à parler à Phia, avec qui elle aimerait partager un lourd secret. Elle déroule donc en pensée le fil de son existence : ses trois soeurs, la mort de leur mère, dans les années 30, puis celle du père, au front, pendant les tout derniers mois de la guerre. Et les hommes de sa vie. Un premier amour, dont elle tombe enceinte mais que la guerre éloigne. Willi, qu'elle n'aime pas mais qu'elle épouse pour ne pas avoir à subir le sort des mères célibataires. Enfin, son grand amour Willem, avec qui elle aura une liaison passionnée pendant de très longues années, et qui lui donnera un enfant. Ce captivant monologue intérieur d'une femme qui revisite sa propre vie, ses choix et ses dilemmes est aussi le récit d'un destin qui se confond presque avec un siècle d'histoire allemande.
Durée:4h. 20min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:13272
Résumé: Quatrième de couverture : "Une bête dangereuse rôde dans les montagnes. Toute personne qui l'apercevra est autorisée à l'abattre." Que de sottise et de méchanceté n'a-t-il pas fallu pour faire de Belle, la magnifique chienne pyrénéenne, l'ennemi public numéro un ! Peu importe Sébastien. Né et grandi dans les solitudes neigeuses des sommets, il s'est juré de défendre Belle, de la sauver envers et contre tous. Mais où trouver un allié, quand le village entier se ligue contre le "monstre"? Heureusement, Sébastien a plus d'amis qu'il ne le croit.
Durée:1h. 47min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:13730
Résumé: Il y a eu "La première gorgée de bière", "La sieste assassinée", "Enregistrements pirates", et il y a aujourd'hui "Dickens, barbe à papa (et autres nourritures délectables)" ! Le dernier né ! Le cru 2005 ! Toujours dans ce livre il est question de petits textes, d'instantanés de l'existence, centrés essentiellement autour des plaisirs de la nourriture, des sensations du boire, du manger et du plaisir des livres ! Où l'on retrouve avec délice la nostalgie des barres chocolatés Milka, les pots de yaourt en verre, la barbe à papa, l'omelette aux champignons, la purée, les bonbons du passé, ceux qu'a ressuscité Renaud dans sa chanson "Mistral gagnant"... (amazon.fr)
Durée:8h.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:13708
Résumé: Peu à peu s'était insinué en moi, l'âge venant, le besoin obscur de baliser ma route en amont afin que les miens, les tout premiers, soient enfin au clair sur ce parcours maintes fois évoqué, à demi-mots, en poèmes sibyllins ou à l'occasion énigmatiques. Puis la mort du père mit en branle une remémoration tumultueuse, à laquelle je ne résisterais pas, qui m'imposait de dire vrai avec les mots justes. Le récit qui en est résulté n'est pas une confession désabusée mais l'évocation, sans fards et à grands traits, d'aventures portées par une curiosité et une exaltation incessantes. Il m'importait tout autant d'en appeler à des origines familiales décidément discrètes pour qu'enfin ce qui pouvait l'être de cette humble chronique soit quelque part consigné.
Durée:5h. 56min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:13070
Résumé: Présentation de l'éditeur : Ce que nous savons depuis toujours apparaît à première vue comme un thriller, une nouvelle enquête menée par le juge Salvatore Corona - celui de Un silence de fer et de Plutôt mourir - et le commissaire Sanuti (ce dernier un peu dépaysé car il vient de débarquer du continent et a du mal à se faire aux us et coutumes sardes), aidés en coulisse par le maréchal à la retraite, Nicola Pili, fin connaisseur de tous les secrets de la région de Nuoro, cet arrière-pays sarde qui sert de décor à presque tous les romans de Fois. Le cadavre de Michele Mariongiù est retrouvé, couvert de sang, la veste criblée de balles, sur le chantier d'un immeuble en construction. Le frère aîné de la victime, un vétérinaire, est mort par suicide quelques années auparavant; son frère cadet, Raffaele, qui a des précédents judiciaires, est interrogé. Chez la veuve de la victime, Maddalena, on retrouve les restes calcinés d'un document. La mère du défunt, Mariangela, semble avoir perdu la tête; une femme d'environ 40 ans (entrée à son service à l'âge de 10 ans), Palmira, s'occupe d'elle. Tels sont les éléments sur lesquels les enquêteurs peuvent se baser. Mais les choses ne vont pas tarder à se compliquer. Sur le lieu du crime, aucune trace de balles, aucune empreinte. Or, pendant que la police scientifique travaille sur le document calciné, le médecin légiste, Osvaldo Pintus, découvre que le sang qui imprègne les vêtements du cadavre est du sang de cochon, et que la veste qu'il porte appartient à un autre mort (enterré depuis un certain temps, selon eux). En outre, un vieillard raconte avoir entendu des pelleteuses travailler jusqu'à une heure du matin sur le chantier, la nuit du crime. Un peu plus tard, une disquette parvient au procureur de Nuoro : elle contient la comptabilité d'un éleveur du pays, Francesco Lilliu : avec la complicité d'un vétérinaire, l'homme a profité frauduleusement de subventions de la Communauté européenne, en déclarant que son bétail était atteint d'une épidémie de fièvre porcine. Le juge Corona comprend bientôt que les deux affaires sont liées. En effet, le chantier sur lequel a été retrouvé Michele Marongiù appartient à l'éleveur et à son frère adoptif, Mauro Mele. Mais ce n'est pas tout : la veste du mort appartenait à Cosimo Mele (le frère aîné de Mauro) assassiné avec toute sa famille (à l'exception du petit Mauro, âgé de 10 ans) le jour de son mariage par les frères de la jeune femme qui était enceinte de lui. La jeune femme d'alors est la vieille Mariangela Mariongiù d'aujourd'hui. Chercher la femme, donc. Le juge et le commissaire finiront par établir une vérité, qui n'est peut-être pas décisive, car la vérité ne l'est jamais, conclut l'auteur. Découvrant que son mari, Michele, avait une liaison avec Palmira, qui attendait un enfant de lui (le document calciné, trouvé à son domicile, était justement le résultat d'une analyse sanguine stipulant qu'elle était enceinte), Maddalena Mariongiù l'a étranglé. Elle a ensuite demandé son aide à sa belle-mère, Mariangela, qui lui a fourni la veste de son ancien amant. Avec l'aide de Raffaele, les deux femmes ont emporté le cadavre sur le chantier et ont organisé la mise en scène. On soupçonne Mauro Mele d'avoir voulu mouiller Francesco Lilliu, lassé de couvrir son comportement malhonnête.
Durée:2h. 6min.
Genre littéraire:Littérature érotique
Numéro du livre:13209
Résumé: C'est un récit inspiré, poétique, dont la chute abrupte clôt un tout cohérent. Une interne d'un collège éprouve une passion pour une de ses condisciples. Elles sont très jeunes, mais on ne sait pas leur âge, l'auteur ne s'appesantit jamais sur les circonstances sociales. Désir, nuits d'amour dans l'immédiate proximité de surveillantes et de collégiennes endormies et qui pourraient quelquefois se montrer trop curieuses, silence forcé, hantise du lit qui "gémit", peur de rire, de crier ou simplement de s'oublier et de parler un peu fort. Beau récit de la présence de l'une dans l'esprit de l'autre : c'est le corps à corps chaque nuit interrompu avec peine, attendu avec impatience toute la journée suivante, repris dès que possible jusqu'à l'épuisement. C'est l'emprise du plaisir; après sa surprise, c'est son attente. C'est plus précisément la recherche de la perle, la douceur qu'elle demande, la crainte de la brutaliser ou de la perdre, de ne pas la retrouver assez vite. Ces choses importantes n'avaient jamais été aussi bien dites. Le texte ne se veut pas érotique mais précis et vrai. Il est poétique, sans la moindre mièvrerie. Cette quête est aussi une fuite. La narratrice fuit sa famille. Elle a été placée là parce que sa mère s'est remariée et que pour Thérèse, son beau-père, ce sera toujours "monsieur".
Durée:3h. 3min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:13522
Résumé: San Remo 1913 : la femme d'un capitaine des bersagliers tue d'une balle de revolver en plein visage le jeune ordonnance en service chez elle. Moyen expéditif et expédient pour la dame de mettre fin à une liaison ? Geste accompli pour sauver un honneur menacé par les fougueux assauts du jeune soldat ? C'est ce qu'alors se demandèrent, dans un déchaînement de passions, la justice et l'opinion publique. Sciascia, en racontant cette histoire pétillante, repose ces questions et quelques autres, qui se ramènent peut-être à une seule : y a-t-il des raisons pour tuer un homme ?
Durée:2h. 12min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:13549
Résumé: Un jour d'hiver, un jeune couple perd son enfant, une petite fille de quelques semaines. Le père, Frans Thomése, accomplit son " travail de deuil " en usant du meilleur moyen qu'il connaisse : l'écriture. Mais l'écriture ne répond pas aux questions, elle les pose. Comment dire la perte, comment évoquer l'absence ? Qu'est-ce que cette absence, et qu'était cette vie qui n'a pas eu le temps d'être vécue ? Qui souffre en moi ? Ainsi naît, autour d'un thème tragiquement universel, la suite de textes courts - ni récits, ni essais, ni poèmes en prose, mais à égale distance de ces trois genres - composant ce livre exceptionnel, quête obstinée d'un chant, d'une mélodie pure, d'une " troisième voix " qui fasse surgir l'indicible. " Pour peu que l'on subisse assez de pertes, le passé devient à la longue ce qu'était d'abord l'avenir : un lointain où laisser vagabonder la rêverie, un horizon derrière lequel une seconde chance reste toujours possible et où, en dépit du caractère irrémédiablement révolu de toutes choses, l'énigmatique espoir continue d'exister. "
Durée:6h. 57min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:12516
Résumé: Que de pages ont été écrites pour tenter de dire les émois, tourments et vertiges, le désir, la passion voire la folie du sentiment amoureux. Mais l'amour c'est aussi ce que Proust appelait "l'acte de possession physique où d'ailleurs l'on ne possède rien". Comment décrit-on et parle-t-on de l'amour dans la littérature française ? Telle une libre promenade - de Rabelais à Musset, de Montaigne à Colette, etc. - voici une sélection de textes qui permet de répondre.
Durée:4h. 10min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:14849
Résumé: Un coin du passé revit ici par la grâce de l'amour et de la mémoire. La voix de Maryska - la narratrice qui est aussi la mère de Hrabal - nous restitue une petite ville de Bohême du début des années vingt et la brasserie voisine, la malterie, le germoir, la cour où l'on grille le malt et où on goudronne les tonneaux. C'est, dans un propos lyrique, cocasse, débridé, une plongée dans l'immédiat des sensations, des odeurs et des bruits. Cette histoire est aussi celle du couple que forment Maryska et Francin : la jeune femme débordant de santé, fantasque, gloutonne, ne résistant jamais aux cochonnailles et à la bière, aux côtés d'un homme certes amoureux, mais délicat, timoré, soucieux de bienséance. En dépit de tout ce qui paraît immuable dans la petite ville, la vie moderne entre par maintes brèches. Francin rapporte de Prague de curieux appareils électriques, les habitants sont convoqués à l'hôtel de la grand-place pour entendre leur première émission de radio. Frappée par ce raccourcissement des distances, Maryska raccourcit d'abord sa jupe, puis les pieds de ses chaises et la queue de son chien. Mais il reste sa chevelure flamboyante, objet de sa fierté et de l'adoration de Francin. C'est le jour où elle décide de sacrifier ses cheveux pour être coiffée comme Joséphine Baker qu'éclate le véritable scandale.